Conspiration 365, tome 1, Janvier – Gabrielle Lord

Résumé.
La veille du Nouvel An, Cal, 15 ans, reçoit un terrible avertissement : « Ils ont tué ton père. Ils te tueront. Tu dois te cacher pendant un an ! » Commence alors pour lui une folle course contre la montre. Chaque seconde qui passe risque d’être la dernière…
Il a 365 jours pour survivre.

Mon avis.
Alors oui j’ai un an de retard sur cette lecture mais le livre avait disparu au fin fond de ma PàL et après quelques fouilles archéologiques, je l’ai retrouvé!
Me voilà donc lancée au centre d’une affaire dans laquelle est mêlé Cal, un adolescent comme les autres.
Ces préoccupations tournaient autour des cours, des amis, des filles jusqu’au jour où son père est mort suite à un voyage en Irlande.
Dès le début du livre, on fait la rencontre d’un personnage un peu fou, qui prévient Cal du danger qui le menace sa famille et lui.
En premier lieu, j’ai trouvé que l’histoire était tellement peu précise qu’on n’arrivait pas à se plonger dedans. On ne comprend pas bien dans quoi on arrive vu qu’on plonge au coeur de l’action sans qu’on nous en dise plus.
Au fur et à mesure de la lecture cependant, on se rend simplement compte que Cal n’en sait pas plus que nous et on découvre les indices en même temps que lui.
On entend alors parler de la Singularité d’Ormond.
Voilà le centre de l’histoire, ce qui fait que la lecture devient intéressante, ce qui nous donne envie de lire les tomes suivants pour suivre la fuite de Cal et ses découvertes.
Cal se fait kidnapper, manque de se faire tuer, est accusé à tort et on en vient à soupçonner tout son entourage de lui vouloir du mal. Impossible de savoir à qui on peut se fier.
Le livre est court (environ 200 pages et écrit assez gros) mais il se suffit à lui même. Le concept de sortir un livre par mois (donc 12 au total), pour suivre l’évolution de l’enquête me plaît beaucoup (c’est d’ailleurs pour cela que j’ai acheté le livre à la base). D’autant que comme j’ai commencé en retard, je vais pouvoir les enchainer!
Une lecture agréable donc et qui reste simple (ça n’est pas non plus du gros roman à suspense). Pas de monstres, pas de romance (ou pas encore..), juste une enquête et un ado en cavale, une combinaison qui marche!

Mon propre visage est alors apparu à l’écran. Cette fois, je ne me suis ni sauvé en courant ni caché – c’était inutile. Je n’avais plus rien à voir avec ce lycéen au teint frais éclatant de santé que montrait la télé. Il appartenait au passé.

Ma note.

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